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histoire d'horreur

2 novembre 2012

pirate de l'espace

mortimer

 

 

On ne disait que trop de chose sur l'amiral mortimer. Certain le considérait comme un criminel des plus redoutable alors que d'autre disaient qu'il n'existait nul autre homme comme lui. On racontait à travers l'univers qu'il n'était qu'un homme de bien, un être adorable, capable des meilleurs actions envers tout individu autant humain qu'extraterrestre. Des rumeurs extraordinaires couraient sur lui.

 

Mortimer constituait une énigme pour tout un chacun.

 

 

Orphelin de naissance, je subsistais difficilement dans un abri des plus misérable. Cantonné à des emploi dur, pénible, et sous payé la chance m'avait sourit de par une belle journée de printemps. En effet, j'avais rencontré un homme des plus mystérieux. Bien qu'handicapé, il disait être un pirate de l'espace appartenant aux prestigieux vaisseau lemarx qui comme un chacun le sait était dirigé par MORTIMER. De deux choses l'une, soit il était fou soit un avenir radieux s'ouvrait à moi. Je le suivais au travers de ce désert ou régnait une chaleur insoutenable en me demandant si l'espoir d'une meilleur condition ne m'avait pas faits perdre la tête. Il était timbré, et en le croyant je ne valait pas mieux que lui... Le bougre semblait insensible à la chaleur et marchait d'un bon pas. Moi je le suivais a grande peine sous ce soleil écarlate. On progressait relativement rapidement et je commençait à faiblir. Soudain l'homme m'annonçât :

-nous y sommes

Interloqué je répondis :

-je n'aurai jamais du vous suivre. Il n'y a nul âme qui vive ici. J'espérais me tromper mais vous me paraissez complètement cinglé.Sans mot dire, il sortit un boitier. Appuyât sur un bouton et un vaisseau apparut.

 

 

 

Colossal, somptueux les mots ne pouvaient que me manquer devant se spectacle. Invisible, il était. Visible, il est. Phénomène totalement obscur pour moi. Je n'avais jamais entendu parlé de telle chose... Un homme sortit promptement de l'astronef, me fit un geste amical et un geste d'asservissement à l'individu qui m'avait conduit en ce lieux. Il devait être l'adjoint de Mortimer.

Mortimer! Un doute intolérable s'insinua en maintes parties de mon être. Et si l'inconnu n'était autre que l'amiral? Ma vie ne serait que trop vite abrégé ...

Il se retourna avec une esquisse de sourire aux travers du visage.

-De pauvre, tu deviendras riche à mes coté.

Il fit une pause. Puis avec mélancolie, l'amiral me regarda et ajouta :

-Et une fois riche, tu feras comme les autres.

Sur ceux, il marcha vers lemarx. Perdu dans des pensées lointaines connu de lui seul...

Je resta béatement sur place complètement désappointer. Mais qui est mortimer?

 

 

Une fois installait dans une cabine sommaire ; je me mis à regarder par le hublot. J'ignorais tout de l'espace et surtout de ces dangers tous pire les uns que les autres. Chaque cabine était individuel.

 

 

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30 octobre 2012

lucifer

De part le ciel, rien d anormal ne semblait pouvoir s observer. Et  pourtant…

Les étoiles scintillaient dans le firmament sans nuage de ce merveilleux mois de juillet.

La pleine lune semblait surveiller ce monde que les humains appels la terre.

Ils dorment paisiblement perdus dans la lointaine inconscience de leurs  cauchemars. 

Oui car tous font des cauchemars cette nuit là. Le même rêve horrible…

François, schizophrène de son état, alcoolique par ennuie, et paranoïaque a plein temps, sortit des

méandres d’un sommeil agité. Il ne se rappelait de rien sauf qu’il mourrait à la fin. L’habitude aidant,

il n’y prêta que peu d’attention, il alluma une cigarette, prit une bière disposait que très prés de son

lit et ainsi armait, il déjeuna. Il voulu allumer la radio mais une panne d'électricité  l’en empêcha. Son repas finit, il lui fallait maintenant

affronter  la  foule  car il n'avait plus rien a  manger. Il prit les médicaments dont on lui conseillait vivement de prendre et qu'il oubliait

souvent. Car il n'était point schizophrène , il  possédait des pouvoirs incroyables, il devenait peu a peu le diable... Il était poursuivi par le

clergé qui voulait a tout pris sa mort. Sachant ceci, il se préparât, il enfila son gilet par balle, arma son sublime magnum 747 et pris son

sabre parfaitement aiguisé. Après avoir retiré les 5 verrou de sa porte, il l'ouvrit en faisant attention a tout et tomba nez a nez sur un homme étrange. Cette homme n'en était pas moins le véritable lucifer.

>

 

 

 

28 octobre 2012

marc roche

 

Il existe des hommes qui semblent des plus abominable. Marc roche en fait partie. Cette homme

corpulent au visage d’ange, n’en était pas moins un monstre. En effet, il avait tué et mangé sept

enfants avant d’être arrêté par la police. Une enfance heureuse dans un pavillon aisé, un métier

payait gracieusement, rien n’aurait pu m’être la puce à l’oreille à quiconque. L’homme paraissait fou

et la société ne savait que faire de lui. Il fut condamné à la réclusion a perpétuité. Quatre jours plus

tard, il mourut dans de mystérieuse condition. Le médecin légiste était bien incapable de dire ce qui

l’avait conduit à la mort. Un message psychotique qui révélait bien la nature malade du mort poser

sur son ventre faisait froid dans le dos.

En effet, voici le message mot pour mot :Je suis un animal comme vous tous mais moi j’en ai

conscience. La révélation est dur a croire.

Mon père, européen mais passionné de magie vaudou comme son propre père, connaissait le secret

de l’immortalité. Par un jour au ciel coloré d’une sublime azur bleuté, il avait fait connaissance avec

son arrière arrière grand père dans la brousse sénégalaise. Celui-ci lui révélât un secret que très peu

de sénégalais connaissait, et que personne n’avait la cruauté de pratiquer. La viande humaine et plus

particulièrement la cervelle de très jeune enfant procurait un ralentissement des plus importants de

la vieillesse. Moi j ‘ai voulu l’immortalité et pour l’acquérir, je mange beaucoup, bien que ne sachant

absolument pas quel effet donnerait cette boulimie. Je sens la mort venir me rendre visite et je me

rends compte que je me suis totalement trompé . Je quitte ce monde sans remords car je me suis

délecté comme personne ne peut l’imaginer de toute cette viande humaine.

Le cadavre de marc roche fut acheminé dans la morgue de loos. Et sentiments des plus étrange, il

paraissait en pleine santé! De mystérieuse grimace animait son visage. En général, il souriait.

Le médecin légiste était perplexe sur ce sujet. Le veilleur de nuit qui pourtant travailler ici depuis

dix ans avait peur. Quelle ne fut pas sa terreur quand le médecin partit!

Le veilleur se nommait robert petit rond. Petit, une moustache broussailleuse noir, les cheveux

bruns, il avait tout d’un métèque. Il vivait avec sa femme et ses trois enfants dans un appartement

insalubre de wazemme. Il regardait les caméras de surveillance quand un bruit de pas se fit

entendre dans la salle mortuaire situé juste en dessous de lui.

Le lendemain, il fut retrouvé mort. Ses cheveux blanc trahissait qu’une intense terreur l’avait amené

tout droit à la crise cardiaque. On remarqua l’absence de marc roche.

Le mort s’était évadé

chapitre 2 encore lui

Dans la petite commune de loos, il y a une maison des plus étrange. Chaque ville a ses petits mystères, loos en avait un grand. Une demeure dont l’hôte vit en ermite et, reçoit des être à la tombé du crépuscule qui semble venu d’ailleurs. De très loin. D’une autre dimension dise les enfants du coin avec un mélange de peur et de moquerie. Une légère odeur de gaz émane de ce lieu qui fait froid dans le dos à quiconque s ’en approche. Il y avait cette vieille rumeur qui de faite n’en était pas

une. Pendant l’occupation, des nazis vivaient dans cette habitation. On raconte qu’ils ont été lyncher

par les loossois. Cela venait du vieux gustave qui n’hésitait jamais de raconter des carabistouilles.

Personne ne connaissait les véritables raisons de cette rixe. La résistance était un mythe dans cette ville et pourtant…

Il a des choses que personne ne devrait savoir.

L’ermite mort depuis quelque jour aurait pu être une bonne nouvelle. Mais trois jeune enfants avaient disparu. Depuis trois jours. L’occupant de la maison n’existait plus depuis quatre jours. En ville les ragots allaient bon train. Certain parlait de fantôme. D’autre envisageait la venu d’étranger.

Et étranger, il y en avait un. Un homme sortit tout droit d’une nouvelle de Lovecraft. Des cheveux broussailleux, une peau d’une blancheur inquiétante et en plus le bougre ne sortait que les soirs de pleine lune. La police rapidement mit au courant le surveiller. Rien de suspicieux fut découvert.

Si ce n’est qu’un cercueil, découvert ouvert, où résidé un homme de mal avait disparu.

Pendant ce temps là, marc roche mangeait en compagnie du propriétaire de la maison maudite bien loin de loos.

La maison de l’ermite fut rapidement racheté. Un homme, à la peau trop blanche qui lui donnait l’impression d’être malade vivait en ce lieux maintes et maintes fois considérait comme démoniaque. Les habitants ne l’aimaient pas plus que l ’ermite ou les nazi à une époque aujourd’hui lointaine. Certain, prédire un drame qui serait le drame de trop. Un groupe de riverains formait à la va vite surveillé déjà la maison depuis quelque jours. Franck foison vît avec certitude de par une journée où la neige tombait avec abondance, un homme totalement inconnu de lui avec un habit de nazi. Pris très au sérieux par la population, beaucoup disait qu’il fallait brûler cette maison au plus vite avant qu’un nouveau drame ne survienne. Pour le groupe chargeait de surveillé cette habitation se fut de trop. Ils répandirent des litres et des litres d’essence tout autour de l’habitation afin que l’habitant ne put sortir. Et la, surprise ! Au moment ou les flammes dévoraient l’ensemble et qu’il était impossible de sortir, trois hommes en sortir enflammé. Franck policier de part sa profession tira non pas avec son arme de service mais avec son magnum, arme considérait à raison comme l’une des plus puissante. Visant la tête, il fit mouche a chacun des trois coup en pleine tête qui se mit à se répandre en d’innombrable morceaux.

 

Loos était soulagé, plus aucun danger ne les guettait.

 

 

 

Marc roche se réveillât sous terre avec un mal de tête. Je vais voyager se dit-il.

 

 

Vivant non loin d’un cimetière des plus lugubres, je suis fasciné par une tombe. Mes parents m’ont

interdit d’y aller mais une force magnétique m’y attire me rendant incapable de leur obéir. Ainsi

quand une possibilité s’offre à moi, je vais dans ce cimetière qui me terrorise pourtant. Une

impression de vie s’observe la nuit dans cette tombe. Des bruits qui me glacent le sang et qui me

vaut maintes nuits blanches. En faites je me suis aventuré qu’une fois la-bas de nuit. Cette nuit est

pour moi inoubliable. J’avançais lentement dans la nuit du 9 octobre 1999 vers cette tombe où on

aurait juré entendre des chuchotements. Quand un homme que très peu visible dans l’obscurité

semblât transpercé la tombe. Telle les fantômes dans la nuit. Totalement halluciné, je me sauva aussi

vite que mes jambes me le permettait. Depuis je suis traumatisé par ces événements. J’ai vu

plusieurs psychiatre et suis aujourd’hui dans un hôpital. On me parle de délire, d’hallucination,

d’illusion. Mais je connais la vérité. Cette tombe est selon moi celle d’un vampire du nom de marc

roche. L’histoire ne met point inconnu et m’est paru un jour où du lcd coulait dans mes veines. Je

m’évaderai. Un jour.

Il est bien connu que les vampires boivent du sang et ne mangent pas leurs victimes. Tout les films

les décrivent ainsi. Les enfants ayant étaient les victimes de cette être démoniaque et de ces

compères ne sont pas tour à fait mort. Il sont dans un état second entre la vie et la mort. Leurs corps

déchiquetaient se régénère. Il reprenne vie et ne sont plus des enfants telle que nous les connaissons.

Déjà les premières victimes quittent leur tombe assoiffé de haine. Ils communiquent entre eux par

télépathie. Marc roche est pour eux dans un certain sens leurs géniteurs. N’étant ni mort ni vivant ils

vagabondent. La haine est leurs seul sentiment.

Une volonté. Tuer.

 

 

Deux jeunes adultes papotent avec désinvolture de ces événements. Un feu crépite dans le cimetière.

Il éclaire une nuit particulièrement sombre. Ils parlent en ces mots :

-Le cimetière maudit ! Tu parle !

-Des événements se produisent. De ma fenêtre, j’aperçois comme des ombres. Cette nuit j’en aurais le coeur net. Mon frère n’est pas fou. Et puis, il y a les disparitions…

-Il y a un détraqué. Ça d’accord. Mais de là a parler de fantômes.

-A mon avis, on est en train de parlé de fantômes fou.

Au moment où, Maurice voulut répondre le bruits de pas de plusieurs personnes se fit entendre.

Ils se retournèrent.

 

Le lendemain on ne retrouva que des ossements.

 

 

 

 

 

Thomas toujours enfermé entre quatre murs tout de blanc vêtu, avait un mauvais pressentiment. L’impression de l’agression d’un proche ne semblait pas pouvoir s’estomper. L’idée de l’évasion ne pouvait pas avoir été aussi importante. L’échec était inévitable. Le sachant, il déprimait. En effet deux raison l’en empêchait. L’une était cette prison psychiatrique, l’autre cette prison neurologique. Atteint d’une sclérose en plaque, il n’arrivait que très difficilement à marcher plus de vingt minutes.

Que faire contre un être dont il ignorait même sa véritable nature ? En maintes partie de son corps des douleurs trahissait la souffrance de son frère. Il fallait qu’il s évade.

 

 

Le crépuscule s’estompait. La nuit des ténèbres succombaient laissant l’apocalypse sur Loos. De rares survivants ont déjà quitter cette ville devenue hostile. Le monde entier ignorait tout des faits qui s’y étaient produits. Dans le cimetière les cadavres jonchaient le sol. Enfin les ossements de personnes décédé depuis longtemps. Les cercueils ne sont plus sur les lieux. Ils se sont envolés. Telle les oiseaux durant leur immigration. Tout comme les survivants. La fuite éternelle venait de s’ouvrir.

 

La fuite devant l’ignominie…

 

 

 

Les flammes de apocalypses régnaient en maitre ici. Le sol, jonchait de cadavre à moitié dévoraient où du sang tapissait et rendait ce spectacle des plus innommable. À cette vue Franck fit demi-tour avec une promptitude qui ne lui avait jamais fais défaut. Il courut telle un léopard.

La famille poulain aux complet n’était plus qu’un à un kilomètre de loos. Ils venaient montrer le petit dernier à la grand mère maternelle. Esteban, particulièrement éveillait pour ses six mois, paraissaient angoissé. Celine âgée de dix ans avait le coeur qui battait à rompre la poitrine.le chien quand a lui aboyait crescendo à l’approche de la ville. La mère tentait vainement de calmer Esteban. Elle ne comprenait rien à l’angoisse de ses enfants et de son chien. Le père stoppa net la voiture sans prévenir et déclara avec un mélange de peur et de colère sur un ton qui ne laissait absolument aucune place à aucune réplique ceci :

-Je vais y aller seul et voire ce qu’il y à la bas. Le pressentiment de danger est beaucoup trop grand.

-Mais enfin Franck ça va?

-N’oublie pas pourquoi j’ai survécu à la guerre du golf chérie.

La sale guerre se dit il en descendant de la voiture. Une guerre purement impérialiste où seul le pétrole comptait. Et, où je présentais le danger. L’ancien militaire n’avait jamais senti quelque chose comme ça. Pour la première fois depuis la guerre, il avait peur…

 

 

 

 

 

Un sentiment. Un seul. La haine. Pas une haine rationnelle. Une haine qui semble venir tout droit de l’enfer. Il n’avait jamais rien ressenti de pareille. Père poulain s’engouffrait dans la noirceur des rues loossoise. Tremblant, un peu confus, il était des plus particulièrement terroriser. Le pire était qu’il ne voyait aucune lumière, aucune âme qui vive, et, ce sentiment… L’enfer se dit il. Ca doit être le portrait cracher de l’enfer. Il ne le savait pas encore, mais il s’y engouffrait. Le crépuscule quant à lui s’approchait. Et beaucoup de chose se passe ici le soir.

 

Il pouvait bien courir. Le monde entier avait sombré dans les ténèbres.

 

 

 

De petits flocons blanc tourbillonnent au grée d’une légère brise d’été. La neige a ceci de curieux quelle adoucie les gens. Mais celle-ci tombe en une période troublante. Elle semble incapable de s’arrêter telle la rotation de la terre autour du soleil. Les hommes, abasourdis, regardent les jours passait espérant un retour à la normal. Espoir vain…

 

 

Martin cloué à son fauteuil roulant par une sclérose en plaque, guette la fin de ce phénomène des plus étrange. L’ éducateur ne lui a pas rendu visite. Hors il est censé venir une fois par semaine.

L’aide ménagère est tout autant absente. Ces provisions baissent vite, très vite. Que se passe-t-il?

Une question se pose. La neige est là. Elle s’accumule, tombe, semble éternelle, ravageant le paysage de blancheur. Un drôle d’été. Sans comptait les cris la nuit. Il se sentait vulnérable, sans défense. Les jours s’écoulait, long, de plus en plus monotone. Le téléphone, internet, la télé plus rien ne fonctionnait. En ce jour d’ennui il démarra un livre d’horreur qu’il avait lu maintes et maintes fois. Après trois heures de lecture, il se mit à réfléchir lassait de son bouquin. N’ayant aucunement idées des événements, de cette visible disparition humaines et de plus est, la météo semblait être tomber en pleine folie cauchemardesque, il se sentait en danger de mort. Il avait raison. Cette nuit la fut semblable aux autres. Des cris de douleurs. De peur. Des cris inhumains.

 

 

 

Une nuit d’hiver, des flocons qui parsemaient le ciel telle les myriades d’étoiles de la voix lactée, ils voltigeaient emporter par une douce et majestueuse brise. Les personnes qui vivaient dans le nord étaient particulièrement touchées. Les clochards mourraient plus qu’a l’habitude mais personnes n’en parlaient. L’égoïsme est le ciment de la démocratie capitaliste comme tout un chacun ne veut savoir. La famille ducroi aux grand complet mangeait des pâtes à la bolognaise. Le père des plus inquiet parlaient en ces mots:

-Vingt centimètre de neige en une nuit c’est du jamais vu.

-Oui. Et alors ? Rétorqua la mère.

-C’est le réchauffement de la planète. On pourrait si on le voulait avoir des voitures électrique. En tout cas j’en suis sur. La météo est en vrac.

La grand mère toujours aussi jeune malgré ces quatre vingts ans prit la parole.

-Je présences un truc. Mais cette fois, je ne vois rien. Sauf du blanc…

Robert répondit alors :

-Bon. Je me couche bonne nuit.

Robert ne supportait plus ces histoires de charlatan de la mère de sa femme. Et dormir le calmerai.

 

Il eut du mal à dormir. Quand il y réussit enfin ; il tomba dans les méandres d’un cauchemar. Se réveillant robert ne put s’empêché d’examiner la rue et se rendant compte que la neige était encore tombé en quantité invraisemblable la peur l’envahit. Une peur irrationnelle. Mais ce phénomène ne pouvait pas être normal, rationnelle. 50 centimètres de plus …

 

Sylvie, son épouse, n’était pas dans la chambre. Le père ducroi descendit les escaliers et ne vit personne. Il monta dans la chambre de son fils. Personne. Bien qu’il n’en avait pas envie du tout, il enchaina dans celle de sa belle mère. Le résultat était le même.

 

Il était seul.

 

 

 

En dehors, de petits flocons de neige virevoltent telle les feuilles d’automne. À l’intérieure, le mal règne en maitre. Telle la neige, on ne peut l’arrêtait. il s’étend, se répand telle la mer de manière immuable. Personne n’y peut rien…

L’hôte de ce lieu merveilleux aux couleurs chatoyantes, reçut ces clients avec honneur et courtoisement. Jean-claude et michel tous deux passionnés de pêche, et plus particulièrement de la pêche à la carpe en était ravie. En effet, le château possédait un étang où les poissons pullulaient. Il leur parla en ces mots :

chers amis, l’étang est gelé vous ne pêcherait rien. Mais si vous le voulez, nous pouvons manger, boire, ripailler.

Oui ! Répondirent ils. Nous sommes las, fatiguer. Un peu de repos nous ferez du bien.

Vous chassez?

Non

Quel dommage. La chasse rappel en nous tant d’instinct animal. Vous ne pouvez pas comprendre.

L ’ homme a évolué. Répliqua Jean-claude.

Oui… l’homme… murmura le restaurateur presque pour lui seul.Jean-claude et michel désappointé par cette énigmatique phrase, ne dire mot. L’homme appela le cuisinier pour lui dire que ce soir ils mangeraient à trois.

 

 

Des pétales de fleurs s’amoncelaient au pieds d’un conifère des plus banales pendant que des particules de glace dansaient dans le firmament des cieux. Le sol jonchait de cadavre accueillait ces résidus et dissimulait ceci. La vie semblait disparaître. La mort semblait apparaître. La terre était aujourd’hui en proie à la destruction. Les survivants trop peu nombreux et trop dispersait pour n’offrir ne serais ce qu’une vague résistance ne pouvait être victorieux. Déjà les premiers morts se levait. Et l’enfer dansait.

 

De l’enfer blanc, jean crut remarquer une silhouette. Ce n’était qu’une hallucination. Les médecins lui répétaient qu’il souffrait de schizophrénie. Il ne les aimait pas. Pas du tout. Mais son problème actuelle lui paraissait bien plus important. Tout sembler se révélait incohérent anarchique. L’homme avait disparu. La neige était apparu. La police qui voulait lui volait son cerveau ne le poursuivait plus. Pendant ce temps la neige continuait son amoncellement. Et, soudain la silhouette réapparu. L’homme semblait avoir une vague difficulté à marcher; Sa jambe gauche trainait un peu. Claude remarqua qu’il sourit. Un peu comme si il avait accomplit quelque miracle et instinctivement il savait qu’il pouvait lui faire confiance. l’homme quant a lui ne comprenait rien a cette marche qui ‘il pensait perdu a jamais. Cette homme s’appelle martin…

 

 

 

 

 

Michel venait de courir avec l’énergie du désespoir. Son comparse, jean-claude venait d’être tuer sous ces yeux par ce qui ressemble bien à un vampire. Il ne croyait pas en toutes ces balivernes. Vampire, fantôme, mort vivant. Que des conneries ! Pourtant, cette homme était un vampire. Il alluma une cigarette encore tout essouffler, le coeur battant. Au loin, il aperçut un homme. Pour une raison inconnu, surtout vu les derniers événements, il lui fit confiance. Il remarqua qu’il boitait. Le grand blond, svelte, a l’allure nonchalante avait une drôle de façon de se mouvoir.

 

 

 

Michel, claude et martin maintenant réunie, ne savait que dire. Heureux quand bien même, les trois étaient dorénavant, il le savaient les derniers. L’homme, maintenant ne semblai plus être qu’un animal en voie de disparition. Martin prit le premier la parole :

-content de vous voire les mecs. Quelqu’un peut me dire ce qui se passe?La neige, les cris dés le début du soir. C est la fin où quoi ?

Personne n’osa lui répondre ni le regarder. Au bout de cinq minutes, michel, déclara, la terreur dans les yeux :

Non. Nous ne vivons que le début…

 

 

Marchant sous la neige qui leur paraissaient ceci d’étrange quelle ne voulait cesser, michel les avait convaincu tout trois de vivre dans une fermette qu’il avait repéré. La nourriture ne serrait pas un problème pour eux. Peu de parole furent prononcer. Tout du moins jusque à leur arrivai.

 

Une fois sur place. L’odeur.La mort. Nos comparse durent encore faire affaire à nouveau avec l’horreur.Il y avait en effet le parfum des plus abjecte de la mort. Ils devaient entrer avant le début de la nuit la nuit étant source d’atrocité. La porte était ouverte.Ils s’engouffraient déjà quand des chuchotements se firent entendre . Michel, possédant un couteau à la lame aiguiser passa devant. Le spectacle tout abominable qu’il soit fit vomir martin. Les cadavres d’un adulte et de deux enfant gisaient dans un bain de sang Une croix clouer au mur à l’envers avec écrit longue vie à marc roche notre sauveur trônait.

 

FIN

 

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